La Lucarne des Ecrivains
Qui sommes-nous? Evénements La Gazette de la Lucarne Nouveautés Contact Accès
Evénements
Février
2008 Mars 2008 Avril
2008 Mai 2008 Juin/Juillet
2008 Septembre
2008 Octobre 2008 Novembre
2008 Décembre 2008
Janvier 2009 Février
2009 Mars 2009 Avril
2009 Mai 2009 Juin
2009 Juillet 2009 septembre2009
octobre2009nove2009 dece2009
2010 Janvier
Février Mars
Avril
Mai Juin
Septembre Octobre
Novembre Decembre
2011 Janvier fevrier
PROGRAMME MARS
Mercredi 2 mars TROIS VEILLEES A PARIS à 19 H 30, De l’écriture solitaire au lien social, Lectures, échanges, signatures
Dany Moreuil
Exposition de photographies
Laurence Charrié
Les jardins extraordinaires Balade poétique dans les jardins du 93
Du 1er au 31 mars 2011 Vernissage le jeudi 3 mars à 18 h 30 à la librairie
J’ai entrepris ce travail de photos des jardins
familiaux en janvier 2007 à Villetaneuse. Au printemps, au détour
d’un de ces doux week-ends, j’ai fait mes premières rencontres
de jardiniers. Là, j’ai croisé l’ingéniosité,
le savoir-faire, la fierté aussi, les souvenirs, la nostalgie du pays
d’avant ; j’ai touché de près la solidarité,
la convivialité aussi.
L’été passa et je décidai de poursuivre ce travail
sur l’ensemble du département que je connais bien et qui m’est
cher, territoire combatif et inventif. L’accueil à Pierrefitte,
Sevran, Pantin, Saint-denis, Romainville… fut le même : chaleureux
et heureux.
Au pied de tours des années 60 ou d’immeubles de bureaux récents,
on sent toujours la terre, on la retourne, on la soigne, puis on récolte
et on partage. Comme les anciens on économise l’eau, on recycle
les déchets.
En une trentaine de photos, je vous invite à partager cette balade faite
pendant plus de trois ans. Aventure humaine émouvante, découverte
d’un imaginaire étonnant, d’une convivialité touchante.
Vendredi 4 Mars à 19h30 : Soirée "Les mots débloquent" avec Bernard Chotil pour le "Chotisier de Bernard" et Alain Créhange pour "Le pornithorynque est-il lustré ?"
Bernard Chotil pour le "Chotisier de Bernard"
D’origine basque, marié à une brésilienne, amoureux
de la langue française, auteur de recueils de poèmes, de chansons,
de théâtre, d’aphorismes et textes divers, Bernard Chotil
a placé son travail de créateur sous le signe de la recherche
d’une harmonie entre mot et musique, parole et sens profond.
A la fois subversive et fraternelle, tendre et humoristique, ludique et exigeante,
son œuvre avance vers la simplicité et le dépouillement d’un
quotidien vécu sans détour ni faux-semblant.
Alain Créhange pour "Le
pornithorynque est-il lustré ?" Alain Créhange, écrivain
originaire de Nancy, a rassemblé dans un seul ouvrage l’intégralité
des mots-valises qu’il a inventés. Ce Nancéien d’origine,
âgé de 47 ans, a regroupé dans un gros volume le contenu
de ses deux précédents ouvrages, Le pornithorynque est-il un salopare
et Le biblioteckel et l’anarchiviste
Il y a une foule de réalités – êtres vivants, objets,
situations – auxquelles il ne manque qu'un nom pour qu'éclate l'évidence
de leur existence. Ainsi, comment désigner la maladie provoquant une
volonté obsessionnelle de pousser un ballon au fond d'une cage munie
d'un filet ? Ou un escargot qui fait des claquettes ? Ou encore une chute collective
au cours du Tour de France ?
Heureusement, les mots-valises sont là pour pallier ces regrettables
lacunes. Scorebut, Fredastairopode, Catacyclisme : et voilà que ces réalités
sont désormais nommées
Samedi 12 mars à 19 h30: Lecture spectacle de Marianne Auricoste : "Partisanes des grands chemins", autour de textes et de poèmes de femmes en révolte.
Marianne AURICOSTE est comédienne, poète et écrivain.
Elle parcourt la France et l'étranger avec des choix de poèmes
contemporains.
Sa démarche se fonde sur le langage du corps, de la parole et de l'écriture.
Comédienne , elle porte la poésie sur les planches
Soirée des partisanes
Parce que les femmes sont à l'honneur cette saison, je me suis rappelée qu'à une certaine époque, j'ai découvert avec passion les lettres de Rosa Luxembourg et que j'en ai fait un spectacle. Cette femme magnifique m'a bouleversée pour longtemps. Etait-elle poète ? Elle avait un don d'écriture qu'elle a exercé en prison avec bonheur.
Et j'ai songé à toutes ces femmes en révolte
qui ont bâti une oeuvre. Des femmes soleil qui ont osé traverser,
transgresser, se dresser contre des lois absurdes, des ségrégations,
des interdits.
Des femmes clairvoyantes, opiniâtres et fières qui ont pris leurs
risques à travers l'écriture. C'est vers elles que je me suis
tournée. Des femmes qui ont dépassé leurs états
d'âme pour tailler un chemin dans l'arène du monde
S'il n'est pas de combat sans souffrance, il n'est pas de combat sans joie et
c'est précisément cette énergie de la joie qu'il m'importe
de mettre en lumière aujourd'hui.
Nous sommes tellement rassasiés de souffrance,
la nôtre ou celle d'autrui, que nous en occultons l'autre face, le versant
solaire, le défi et l'esprit de conquête.
Voilà ce qui a guidé mon choix : des écrits de femmes de
tous les horizons qui nous incitent à demeurer vivants, à poursuivre
notre chemin hardiment... des femmes debout dont la singularité et la
foi sont de nature à bouleverser la littérature et les
conformismes. En un mot : des Partisanes.
Lecture - spectacle proposée par Marianne Auricoste
Poèmes et proses de :
Marianne Auricoste - Esra Aykin-Myriam Ben-Tanella Boni-Andrée Chedid-Maryse
Condé-Assia Djebar-Isabelle Eberhard-Anne Hébert-Annick Justin
Joseph-Zineb Labidi
Clarisse Lispector-Rosa Luxembourg-Véronique Tadjo-Dora Teitelboïm
Poésie populaire des femmes Pashtounes Landays d'exil recueillis par
Say Bahodine Majrouh
Mercredi 16 Mars à 19h30
: Rencontre "l'imaginaire des langues de France et d'ailleurs"
en compagnie de Lise Gauvin
( pour "L'imaginaire des langues"avec Edouard Glissant et le colloque
"Les littératures de langue française à l'heure de
la mondialisation" ) et Antoine de Gaudemar (pour la revue Riveneuve Continents)
Cet ouvrage
se propose comme une suite de haltes dans le parcours d’une oeuvre, celle
d’Edouard Glissant, qui se déploie aussi bien dans le domaine du
roman, de l’essai que de la poésie.
Comment concevoir le monde sans les notions indispensables de créolisation,
d’opacité et d’errance qui sont à l’origine
de ce que Glissant désigne comme la Relation, une Relation qui se dévoile
aussi bien dans le registre du poétique que du philosophique.
Car il n’y a de pensée véritable, selon lui, que celle qui
rejoint le poème, celui-ci étant « la seule dimension de
vérité ou de permanence ou de déviance qui relie les présences
du monde ».
C’est donc en poète que Glissant développe cette pensée
archipélique qui est au coeur de ses essais et qu’il définit
comme une pensée qui s’oppose aux pensées occidentales,
associées aux pensées de système.
Il voulait saisir, au rebours des lectures coloniales, l’en-dessous de
nos réalités pour faire émerger le vrai de nous-mêmes.
Le vrai de notre histoire. Le vrai de notre espace-temps. Le vrai de notre rapport
au monde.
.
Vendredi 18 Mars à 19h30 : Soirée débat "La société française et les cultures afros" avec les éditions Afromundi et Jerry Sanghami
- Afromundi est une jeune maison d'éditions qui
ambitionne de faire connaître au grand public la richesse et la vitalité
des cultures afros dans le monde.
en présence d'Anaïs Favre, pour "Métis, métisse,
métissage : de quoi parle-t-on ?",
de Serg Mokanda, auteur de "Un Noir en colère"
et de Jordane Bertrand, auteure de "Histoire des indépendances africaines
et de ceux qui les ont faites"
Avec "Métis, métisse, métissage", Anaïs
Favre fait le point, avec un souci de pédagogie, sur la question complexe
mais passionnante du métissage, au coeur de la réflexion actuelle
sur le « vivre ensemble ».
Dans sa lettre ouverte à Marianne, "Un Noir
en colère", Serg Mokanda a choisi de rompre le silence. Racisme,
discriminations, stigmatisations, hiérarchisation des mémoires,
compétition victimaire, tensions intercommunautaires, replis identitaires…
Où va Marianne à ce rythme infernal, alors que ses enfants –
TOUS ses enfants – sont censés vivre ensemble ?
Dans "Histoire des indépendances africaines", Jordane Bertrand
retrace les dynamiques politiques, sociales et culturelles qui ont animé
le mouvement des indépendances africaines dans la diversité des
cinquante-trois nations qui composent aujourd’hui l’Afrique. Dédié
à tous ceux qui veulent en savoir davantage sur cette période
charnière de l’histoire récente, aux personnes en quête
de leur passé, aux passionnés d’histoire ou tout simplement
aux curieux, ce livre se veut l’outil indispensable pour aborder et comprendre
les étapes décisives qui ont abouti à la libération
de tout un continent.
Le samedi 19 mars à 19h30, Lecture-rencontre autour de Jean-Sébastien Bach
en compagnie de Jean Miniac, auteur de “Et ta main fermera mes yeux…” Bach, journal intime
La date retenue nous rappelle que Bach est né
au printemps, le 21 mars 1685. Ce journal imaginaire évoque des épisodes
de la vie du compositeur, mais aussi sa conception de la musique, la genèse
de son inspiration. J'ai largement puisé dans mon expérience d'organiste
liturgique, exercée plusieurs années dans le nord de la France.
La présence de la parole sacrée dans la musique de Bach a été
beaucoup analysée. D'une certaine façon, ces textes se proposent
d'opérer le cheminement inverse, et de traduire la musique en mots.
Ma lecture sera ponctuée d'intermèdes musicaux, essentiellement
tirés de l'œuvre d'orgue.
De nombreux extraits de ce livre ont paru en revues, et, tout récemment,
dans la revue Bleu d'encre, n° 24 (décembre 2010), située
en Haute-Meuse.
J.M.
— Jean Miniac est l'auteur de plusieurs recueils de poèmes et de proses, parmi lesquels Carmina, Chronique des esprits (Dumerchez), Histoire de nous (L'arbre à paroles), Une odeur perdue de la mer (Fayard). Il a également traduit du latin saint Jérôme, Prudence, Jacques de Vitry, et, en dernier lieu, de l'anglais, Toujours un compte à rendre et autres poèmes de Jimmy Carter (Buchet-Chastel). Il prépare actuellement un autre recueil de poèmes, Les oublies, à paraître en 2011 aux Cahiers de l'Adour, avec des lavis de Colette Deblé.
Mercredi 23 Mars à
19h30: Lecture théâtrale
"Les Yeux d'Elsa au siècle d'Aragon" avec les auteurs Dominique
Desanti et Karin Müller
en présence des comédiens Marie Christine Barrault
et Charles Gonzalès et l'éditeur Frédéric
Guéna
"Tour à tour, Louis Aragon et Elsa triolet
se racontent, de leur première rencontre à La Coupole en 1928,
jusqu'à la mort d'Elsa dans leur moulin de Saint-Arnould en Yvelines.
Avec la complicité de Karin Müller, Dominique Desanti embarque le
lecteur au coeur d'une passion -tout à la fois amoureuse, littéraire
et politique. Le communisme, la Résistance, l'engagement, la vie à
deux, la création littéraire, le succès, l'amour, tout
est abordé sous la plume caustique de Dominique Desanti qui a bien connu
le couple ambigu."
Marie Christine Barrault et Charles Gonzalès liront
les premières pages de ce texte.
Son éditeur Frédéric Guéna présentera sa
jeune maison d'éditions.
Jeudi 24 mars à 19H30,
Soirée cinéma avec la jeune réalisatrice Macha
OVTCHINNIKOVA pour la projection de son court métrage la chambre
d’après la nouvelle de Jean-Paul Sartre sur la folie .
Les comédiens sont : Tristan Willmott, Claudine Jacquemard et Yves Coeslier
Après cette projection, les comédiens Ophélie Bazillou et Boris Gielbaum interpréteront des scènes huis clos de Sartre.
Le Mur (1939) est composé
de cinq nouvelles qui présentent cinq types de marginaux: un condamné
à mort (Le Mur), un fou (La Chambre), un déséquilibré
sexuel (Erostrate), un impuissant (Intimité) et un pédéraste
(L’Enfance d’un chef). Cette galerie de personnages "nauséeux"
produit une atmosphère étouffante, à laquelle il semble
impossible d’échapper.
Le thème central et commun à ces nouvelles est cette impossibilité
de fuir le cercle fermé de l’existence, qui apparaît "emmurée".
L’essence de l’homme, le
caractère de l’homme, sa spécificité doivent donc
être construits dans sa manière d’exister, dans la façon
dont il conduit son existence.
La relation de l’homme avec le monde extérieur, le pour-autrui,
est donc déterminante.
Vendredi 25 Mars à
19H30, Soirée "Premiers
romans" : entre écriture romanesque et écriture
poétique avec les éditions Aux forges de Vulcain,
en compagnie de David Meulemans, directeur de la collection "Littératures",
de Jérémy Nabati, auteur de "Question de l'être et
beauté féminine"
et de François Esperet, auteur de "Larrons"
.Dans "Question de l’être et beauté féminine", Jérémy Nabati rapporte les aventures cocasses et poétiques d’Aldo, un jeune homme pensif mais pas mélancolique, qui courtise Flora, une jeune femme. Cette histoire d’amour offre l’occasion de s’émanciper des codes du récit amoureux classique pour s’élancer vers la poésie, l’humour et un lyrisme (un peu) surréaliste, écho de Vian, Queneau et Perec.
Le livre de François Esperet, "Larrons", est un long poème épique formé de quatre chants. Chaque chant est le monologue d’un larron de notre temps, petite frappe ou grand seigneur de la nuit, vivant de forfaits, d’embrouilles ou de crimes éclatants.
Entre roman et poème, ces deux ouvrages questionnent la limite des genres.
David Meulemans nous parlera également des autres livres de la collection Littératures, en attendant la soirée du vendredi 8 avril consacrée aux traductions chez le même éditeur, Aux forges de Vulcain.
Samedi 26 mars
à 19H30,
Soirée poésie en compagnie de 4 poètes Maurice
Cury, Hédi Bouraoui, Sylvie Biriouk et Eric Sivry
Présentation de la revue Intuitions et des éditions D'Ici et D'Ailleurs.
Mercredi 30 mars à
19H30, Soirée autobiographie, par l’association
Pour l’Autobiographie APA et le patrimoine autobiographique,
animée par Nicole Lamboley sera consacrée au thème : Les
objets d’une vie : les jeter ou les sauver ?
Avec la participation de Marie-Claire Hériche, Sylvie Jouanny, Hubert
Lesigne et Paule Lunven et la présence amicale de Philippe Lejeune
Exposition du lundi 28 mars au 16 avril Couleurs de mots
Peintures d’un collectif, Annie Brethomme, Daniel Château, Michel
Cornillon, Pierre Dotter, Jeannine Guillemot, Françoise Namy et Catherine
Weil, accompagnant des poèmes d’Emmanuelle Veil
Vernissage le 31 mars à 18h, lecture de poèmes à 19h30
suivi d’un buffet.
Collectif « Peindre au Cinq »
Les artistes : Annie Brethommé, Daniel Château, Michel Cornillon,
Pierre Dotter, Jeannine Guillemot, Françoise Namy, Odile Taieb, Catherine
Veil
Notre collectif s’est formé fin 2008, à l’ouverture
du 104 qui proposait, grâce à la structure du 5 (5 rue Curial),
un accès aux habitants du quartier.
Notre fréquentation de l’école des
Beaux-Arts de la Ville de Paris nous a réunis et nous voulions continuer
une pratique artistique de peinture, en groupe, dans notre quartier. Nous désirions
favoriser les interactions entre nous, les associations fréquentant le
5, et les artistes en résidence au 104.
Le 5 a retenu notre projet dès son ouverture.
Cette pratique interactive dans le cadre de notre collectif Peindre au 5 nous a enrichis non seulement dans notre travail mais aussi personnellement.
Par exemple, lors de certaines séances, nous avons choisi de peindre la même nature morte, ou d’en créer une à partir d’un nombre limité d’objets virtuels choisis en commun, nous avons aussi dessiné des danseurs s’entraînant au 5, … etc
Nous avons exposé en novembre 2009 à la Mairie du 19ème, en avril 2010 au café-restaurant 25°Est. Nous avons produit une brochure de poèmes illustrés « Couleurs de Mots » en décembre 2010. Les artistes du collectif "Peindre au 5", basé au 104 rue d'Aubervilliers, publient, en ce début 2011, un livret intitulé Couleurs de mots, dans lequel ils ont disposé en miroir leurs tableaux et les poèmes qui les ont inspirés. Ces textes que j'ai écrits lorsque j'avais vingt ans, initialement parus aux Editions du Cardinal*, forment une trilogie qui va de la fausse naïveté à l'humour noir en passant par des sentiments primitifs. Nous fêterons, jeudi 31 mars à la Lucarne, la sortie de l'ouvrage autour d'un buffet. Vernissage des peintures à 18h, puis à 19h30, Pierre Dotter interprétera quelques poèmes, accompagné de Jeannine Guillemot.
E. Veil * Trois recueils : Cartouche (1994), Rouge (1997)
et Bornéo (2000)
Emmanuelle Veil est journaliste, elle a débuté à l'Express avant de bifurquer vers la presse satirique : Charlie Hebdo, Siné Hebdo. Elle écrit en ce moment un premier roman.
Vendredi 1er avril à
19H30, Soirée Albanaise
avec les éditions Fondencre et Philippe Biget
Alexandre Zotos, traducteur de littérature albanaise et auteur de nombreux travaux la concernant présentera en particulier l’ouvrage
À fleur de fables de Dritëro
Agolli, l’un des grands auteurs albanais contemporains que viennent de
publier les éditions fondencre www.fondencre.fr
dans la collection Beaux livres
Une anthologie poétique de large audience, abondamment illustrée
par Alain Lacouchie
Alexandre Zotos présentera aussi ses autres traductions du même
auteur (un roman et un recueil de nouvelles publiés chez Le Serpent à
plumes) ainsi que son Anthologie de la poésie albanaise publiée
chez Comp’Act en 1998 et que sa traduction du recueil Défaut de
verbe du poète kosovar Ali Podrimja ( édition bilingue –
Cheyne, 2000 ).
La présentation sera suivie d’un échange dans l’ambiance
chaleureuse de cette librairie.
Samedi 2 avril à 19H30,
Soirée slam avec édition Wallada et Françoise Mingot
Lecture des Emophanie et autres musicalités intérieures de Filament
de Clairière (Auteur)
Ce recueil de poésie peut s’avaler comme un roman, se déguster comme un ensemble de nouvelles, ou se siroter... Vous aimez les voyages ? Laissez-moi vous indiquer un chemin. Au bord de lointaines plages ? Laissez-vous les inventer. Au coeur des nuages ? Laissez-vous transporter...
Jeudi 7 avril
à 19H30, Soirée poésie avec édition
MLD et Mérédith Le Dez
Pour une rencontre lecture avec les éditions MLD
Présence du poète Amin Khan .
Vendredi 8 avril à 19H30
Soirée littérature étrangère,
avec les éditions Aux Forges de Vulcain et Matthieu Haumesser, directeur
de la collection "essais".
En compagnie de Marion Leclair, traductrice du "Rêve de John Ball"
de William Morris
de Joël Chandelier, préfacier du "Rêve de John Ball"
de William Morris
de Maxime Shelledy, traducteur et de Xavier Giudicelli préfacier de "L'âme
humaine" d'Oscar Wilde
Samedi 9 avril
à 19H30 Soirée
Théâtre avec les éditions de l’Amandier,
présentation et lecture de la pièce de Chad Chenouga, La
Niaque
Mercredi 13 avril
à 19H30 Soirée
lecture avec la revue Verso et Alain Wexler, En compagnie des auteurs
Francois Teyssandier, Guy Chaty, Caroline Cranskens.
Notes sur les auteurs
Guy Chaty : a publié depuis 1977 des poèmes, des nouvelles, des récits, du théâtre, des essais dans un quarantaine de revues dont : Action Poétique, Aménophis, l’Arbre à Paroles, Bacchanales, Brèves, Comme en Poésie, Décharge, l’Encrier renversé, Florilège, Interventions à haute voix, Jointure, le Grand Nord, Lieux d’¨tre, Poésie Première, Poésie-Rencontres, Poésie sur Seine, Poésie 1, Rétro-Viseur, Traces, Verso. Une douzaine de recueils chez Alain Benoit, Editinter et Interventions à Haute Voix. Il est membre du comité de rédaction de Poésie Première et des comités de lecture de IHV et de Poésie sur Seine.
François Teyssandier : vit à Paris. A publié 3 pièces de théâtre dont une jouée en France et en Belgique. Des voix dans la ville ; L’accusation ; Le temps de solitude. Des nouvelles dans les revues : Nota bene, revue Roman, Brèves, Rue St Ambroise, Moebius. Des poèmes dans les revues : Poésie 1, Artère, Poésiades, L’almanach des poètes, Vagabondages, Les heures, Voix d’encre, Glanes, Isis, Arpa, Friches, Décharge, Le coin de table, Pyro, N4728, L’Arbre à Paroles, Comme en Poésie. Des livres : La musique du temps chez P.J. Oswald ; Livres du songe chez Belfond, prix Louise Labé 1984.
Née en 1979, vit entre Paris et Lisbonne. A écrit
: Fragments verts et Figures de la route. Elle a publié en revue. Présente
dans Verso 145. Parution en juin 2011.